1993.05.31
Toronto sèche ses larmes...
C’est le titre de la chronique de PF publiée le lundi 31 mai 1993, un texte de 699 mots, si petit qu’il pourrait tenir dans un mouchoir.
Bonne écoute !
Toronto sèche ses larmes...
C’est le titre de la chronique de PF publiée le lundi 31 mai 1993, un texte de 699 mots, si petit qu’il pourrait tenir dans un mouchoir.
Bonne écoute !
Toronto, la grise.
Sous prétexte de parler de hockey, PF parle de la ville et de ses habitants.
Bonne écoute.
Photo de Digjot Singh sur Unsplash
Cette chronique de 1103 mots publiée le samedi 29 mai 1993 donne à voir une spécialité de PF : parlez d’un truc pour en expliquer un autre.
En parlant de vélo versus une bicyclette, il explique qu'un pays ne peut se construire sur une politique de gestion d'enseignes.
PF fait fort dans cette chronique où il traite les politiciens de pinocchios.
Une histoire qui ressemble au film Les Douze Travaux d'Astérix.
Une drôle de chronique...
Une drôle d'époque aussi pour la médecine québécoise.
Pour la première fois de son histoire, une décision de son comité de discipline et syndic est réexaminée par l'Office des professions patronné par Thomas Mulcair.
Ça barde !
Le titre du texte de PF : Les faits, autrement.