L’épisode 1995.09.09 du balado Radio F**klia examine la chronique de PF publiée il y a 25 ans, jour pour jour. Le samedi 9 septembre 1995, en page A5, La Presse publie un texte de 1071 mots intitulé    « Ce qu’en pense la Saskatchewan ». Le référendum pour le oui s’en vient en courant. Et PF croit que les gens voteront sans enthousiasme. Comme lui… Un texte très dense avec peu de scories. Et une énorme prédiction !

Bonne écoute !

L’épisode 1995.09.02 du balado Radio F**klia examine la chronique de PF publiée il y a 25 ans, jour pour jour. Le samedi 2 septembre 1995, en page A5, La Presse publie « Chronique de la main gauche », un texte de 1046 mots. PF nous raconte qu’il a chuté sur un pont dont le tablier de fer est rendu glissant par la pluie. Est-il à pied ou à vélo ? Impossible de savoir. De toute façon, il se rend à l’hôpital, car il a mal au poignet. Une secrétaire lui dit d’attendre en attendant d’être évalué par une infirmière…

L’épisode 1995.08.31 du balado Radio F**klia examine la chronique de PF publiée il y a 25 ans, jour pour jour. Le jeudi 31 aout 1995, toujours en page A5, La Presse publie « Le courrier du genou », un texte de 1091 mots… Le chroniqueur reçoit dans son courrier une puce. Pas une seule phrase, juste une puce. Une puce qui pique, pas un machin électronique.

L’épisode 1995.08.28 du balado Radio F**klia examine la chronique de PF publiée il y a 25 ans, jour pour jour. Le lundi 28 aout 1995, en page A5, La Presse publie un texte de 1052 mots intitulé « La vie est un critérium ». PF pense connaitre le cyclisme. On ne va pas lui reprocher, car c’est tout de même préférable d’entendre parler de vélo que de hockey. Surtout au mois d’aout. Comme il en a l’habitude, il commence à parler d’un sujet pour bifurquer vers autre chose, ici le système d’opération Windows 95.

L’épisode 1995.08.26 du balado Radio F**klia examine la chronique de PF publiée il y a 25 ans, jour pour jour. Le samedi 26 aout 1995, en page A5, La Presse publie un texte de 1047 mots intitulé « Rue de Bullion ». Dans le premier segment de sa chronique, PF revient sur un accident de voiture qui tue Janette, une jeune fille de 15 ans et parle de la jeunesse avez son cœur. Dans le deuxième segment, le chroniqueur parle du référendum pour l’indépendance du Québec et blâme le camp du OUI avec de gros mots comme… marketing.

Bonne écoute !

L’épisode 1995.08.19 du balado Radio F**klia examine la chronique de PF publiée il y a 25 ans, jour pour jour. Le samedi 19 aout 1995, en page A5, La Presse publie « Le désir », un texte de 1097 mots. Dans la première partie de son texte, un couple de Saint-Jean écrit au chroniqueur pour se plaindre que c’est de plus en plus difficile de faire l’amour dans des endroits publics. On rentre dans la chronique alors que le couple semble vouloir s’inviter chez lui…


Bonne écoute !

L’épisode 1995.08.17 du balado Radio F**klia examine la chronique de PF publiée il y a 25 ans, jour pour jour.

Le jeudi 17 aout 1995, en page A5, La Presse publie un texte de 1018 mots intitulé « La petite garce folle d’amour ».

L’épisode 1995.08.14 du balado Radio F**klia examine la chronique de PF publiée il y a 25 ans, jour pour jour. Le lundi 14 aout 1995, en page A5, La Presse publie « Voyager cheap », un texte de 1033 mots.  PF retrouve ses petites habitudes. Il asticote une personnalité qu’il aime bien et devient très animé lorsqu’il évoque le tourisme de masse. On entre directement dans le premier paragraphe de la chronique..

Bonne écoute !

L’épisode 1995.08.12 du balado Radio F**klia examine la chronique de PF publiée il y a 25 ans, jour pour jour. Le chroniqueur produit deux textes aujourd’hui, le samedi 12 aout 1995. Il continue sa série sur Oka pour mieux discuter de ses angoisses et il célèbre sobrement la mort de Jerry Garcia des Grateful Dead.
Bonne écoute !

L’épisode 1995.08.10 du balado Radio F**klia examine la chronique de PF publiée il y a 25 ans, jour pour jour. Le jeudi 10 août 1995, en page A5, La Presse publie un texte de 1058 mots intitulés « Des bégonias roses ». PF revient de vacances au pas de course. Pas de bonjour, pas de fiancée endormie, pas de chats, pas de compte rendu de son kilométrage à vélo. On se retrouve à Oka et le chroniqueur discute avec un barbu sur le rang du Milieu…